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Une meilleure rémunération de nos boursier(-ière)s

Institutionnel Programmes
Une meilleure rémunération de nos boursier(ère)s par l’abolition du plafond.
Une meilleure rémunération de nos boursier(ère)s par l’abolition du plafond.
© CALQ

Saviez-vous? En 2018, le Conseil a annoncé l’abolition du plafond de 1 700 $ par mois qui couvrait les « frais de subsistance » pour les artistes et les écrivain(e)s professionnel(le)s, et a remplacé l’appellation de ce poste budgétaire par la « rémunération du (de la) candidat(e) ».

Le Conseil exprimait ainsi sa volonté de contribuer à l’amélioration des conditions socioéconomiques de ses boursier(-ière)s, un des objectifs au cœur de la Politique culturelle du Québec Partout la cultureThis link will open in a new window. Cette volonté rejoignait également les orientations stratégiques This link will open in a new window du Conseil. Le déplafonnement représente ainsi une reconnaissance souhaitable et concrète du travail des artistes et des écrivain(e)s, leur permettant d’obtenir un meilleur revenu pour se consacrer à leur art pendant la durée de leur projet.

Au cours des trois dernières années, le Conseil a enregistré une hausse de 17 % de la rémunération hebdomadaire moyenne de ses boursier(-ière)s.

Le Conseil rappelle que cette décision s’applique à tous les programmes où la rémunération des candidat(e)s fait partie des frais admissibles et dont l’inscription se déroule en tout temps. Pour plus de détails, consultez la section « Admissibilité », sous la rubrique « Frais admissibles » des programmes.

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© Charles-Étienne Brochu

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